Après avoir investi Facebook et Twitter depuis plusieurs années et avoir pu bénéficier d’une popularité croissante et de nombreuses belles rencontres grâce à ces « réseaux sociaux », les Vendéens de Paris débarquent sur LinkedIn, avec pour ambition d’attirer une population de professionnels et d’entreprises vers notre association.
Mais c’est quoi « LinkedIn» ?
LinkedIn est un réseau social américain, créé en 2003. Il a pour objectif de réunir des professionnels et de leur permettre des mises en relations facilitées entre eux. Concrètement, après avoir créer son profil (sorte de CV en ligne) ce réseau social permet à l’utilisateur de mettre en ligne du contenu en relation avec son activité, de présenter son CV et ses sujets d’intérêts, de poser des questions à des experts, d’entrer en contact avec des professionnels et de discuter par écrit avec eux.
Une présence institutionnelle affirmée
Depuis quelques années, les entreprises, mais également d’autres types d’organisations comme les associations se dotent d’une page sur LinkedIn. L’intérêt est d’une part publicitaire, mais permet également de faire du recrutement de salariés et de suivre l’actualité de certains marchés ou de sujets d’expertise. Bref, l’éventail des avantages est large.
Un outil pertinent pour les Vendéens de Paris
Depuis sa création, l’association des Vendéens de Paris vit et se développe en établissant des liens entre les personnes. De fait, nous avons sans cesse besoin de nous faire connaître afin d’attirer de nouveaux adhérents, mais également de nouveaux partenaires. Par ailleurs, notre vocation philanthropique déclarée dès 1893 a conduit l’association à toujours favoriser l’entraide dans le domaine professionnel. Ainsi, la création d’une page et d’un profil de notre LinkedIn pour l’association est cohérent avec notre histoire, et nous permet aujourd’hui de mieux nous faire connaître auprès d’un public de professionnels, tant en Vendée qu’en Ile-de-France, mais également de développer des partenariats avec des entreprises, nécessaires pour la survie de notre association.
Par H. M.
